Pour la première fois, David Hallyday, le fils Johnny Hallyday et Sylvie Vartan lève le voile sur ces terribles disputes qui ont traumatisé son enfance. Il n’est pas près de les oublier.
Alors que le clan Hallyday est scindé en deux pour une question d’héritage, Sylvie Vartan brise le silence pour se porter au secours de son fils David Hallyday, qui aurait été déshérité par son père.
Ce que la chanteuse ne se supporte pas, c’est les rumeurs et les fausses nouvelles au sujet de son fils unique.
Johnny Hallyday est supposé lui avoir fait don de 50 % d’une propriété de 400 m2 avec 600m2 de terrain à la Villa Montmorency dans le 16e arrondissement.
Ce propos est en partie mis en doute par Sylvie Vartan.
« Arrivant à l’instant à Paris, je suis consternée des fausses informations qui circulent à dessein, insinuant que mon fils David aurait été gratifié d’une partie de la maison que nous avions achetée à Paris avec son père il y a plus de 30 ans ?!La réalité est évidemment toute autre » a confié Sylvie Vartan, en faisant allusion à cette rumeur.
« Lors de notre séparation après 18 ans de vie commune, j’ai purement et simplement refusé dans le cadre de notre divorce de recevoir de Johnny, sous forme de donation, sa part de la maison préférant que cela revienne directement à notre unique fils. C’est d’ailleurs ce qu’indiquait très clairement notre jugement de divorce. C’est moi, et moi seule, qui ait voulu gratifier notre fils, ne voulant rien recevoir à titre personnel de mon ex-époux lors de notre séparation », indique-t-elle.
« Comble de tout, j’apprends à l’instant, que Johnny aurait aussi payé le redressement fiscal de notre fils. Tout ça est scandaleux ?! Ce n’est n’est que fabrication et mensonge. Evidemment, je comprends bien les raisons pour lesquelles on cherche à travestir la vérité afin d’atteindre mon fils. Pouvez vous imaginer une seule seconde ce que peut ressentir David, artiste lui même, fils d’artistes, d’être privé de tout droit de regard sur la gestion de l’héritage artistique de son père, glisse-t-elle. Ça me sidère. C’est pour cela que je ne peux le tolérer et sort ainsi de ma réserve ».
Ces articles devraient vous intéresser :