Dans le cadre de Quelle époque !, le rendez-vous hebdomadaire de Léa Salamé sur France 2, Faustine Bollaert s’est livrée sur le comportement de prédateur de Dominique Strauss-Kahn, l’ancien patron de FMI. Elle a eu très peur.
Tristane Banon ne regrette pas d’avoir porté plainte contre DSK, qu’elle avait accusé d’agression sexuelle en 2011, alors que celui-ci était le grand favori à la présidence de la république.
« Je dois avoir autant d’amis que d’ennemis. Je fais partie de ces personnalités clivantes. Certains m’adorent, d’autres me détestent. Il n’y a pas de juste milieu. Je ne sais pas pourquoi je provoque une telle haine même si c’est, bien sûr, lié à l’affaire », confie la jeune femme lors d’un entretien avec MetroNews, allusion évidemment à l’affaire DSK.
Pas de regrets cependant pour celle qui est enceinte de son premier enfant, de sa relation avec Pierre Ducrocq, un ancien joueur du PSG.
« Ce que je regrette c’est de susciter désormais ce genre de réaction. Assumer le fait de déclencher chez certains une véritable haine est humainement très difficile », dit-elle.
« Je ne suis pas aussi costaude que j’en ai l’air. Je ne regrette pas d’avoir porté plainte, je regrette qu’on soit dans une société où j’ai du mal à assumer de l’avoir fait. Dans un monde idéal, je devrais plutôt en être fière », a ajouté Tristane Banon, regrettant que certains propos à son encontre aient été d’une rare violence.
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