Philippe Risoli s’est exprimé au sujet des remarques de Michel Drucker sur sa carrière, qu’il a qualifiées de dévissage.
Michel Drucker fera son grand retour ce week-end à l’antenne aux commandes de « Vivement dimanche » sur France 2, quelques mois après son opération cardiaque qui a failli lui coûter la vie. Ses impressions, il les livre dans le 13 Heures de Julian Bugier.
« Je suis debout. Je viens d’enregistrer la première partie de Vivement dimanche qui va passer à 15h10 dimanche. C’est une renaissance, je n’y croyais plus », explique-t-il, avant de préciser la manière de composer avec cette opération délicate qui a duré sept heures. Il a éprouvé plus que la peur. Michel Drucker a du mal à définir ce sentiment.
« C’était au-delà de ça ! Quand on est plongé, comme ça, dans un tunnel de plusieurs mois et après une opération aussi grave, on passe par toutes les étapes : la peur, et puis on n’a plus peur, et puis on sait que, de toute façon, ça va mal se terminer, qu’il y aura sans doute des séquelles parce qu’on ne s’en remet pas comme ça », poursuit l’animateur.
Il a réussi à s’en remettre après avoir été assuré de son retour par la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte , et Stéphane Sitbon-Gomez (directeur des antennes et des programmes du groupe, NDLR).
« J’étais persuadé que je ne reviendrai pas. Ils m’ont dit : ’Michel, pas d’inquiétude.’ Je leur ai dit : ’Si vous voulez que je vous aide à trouver un remplaçant, si vous voulez garder Vivement Dimanche’. Ils m’ont répondu : ’Il n’en est pas question’. Stéphane m’a dit : ’On t’attend le temps qu’il faudra’", raconte-t-il.
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