La journaliste a en effet profité de la publication dans les pages de « Libération » d’un portrait consacré à Julien Lauprêtre, le patron du Secours Populaire pour lancer une petite « salve » contre celui qui a partagé sa vie durant huit ans.
Pour annoncer son article sur Twitter, au titre provocateur « Merci pour ces vacances », la journaliste appelle Julien Lauprêtre « mon président », une façon comme une autre de faire croire que pour elle, le président de la république a été relégué aux oubliettes.
Valérie Trierweiler ne fait en réalité que réagir aux propos de François Hollande à son encontre.
Dans « Conversations privées avec le président » sorti aux éditions Albin Michel, François Hollande confie que la journaliste de Paris Match a mésestimé les difficultés d’être première-dame, statut auquel elle ne s’était pas préparée.
« Valérie elle-même avait hésité à endosser le rôle. Elle a été mal comprise, elle ne s’y était pas préparée », confie le président la république, qui regrette par ailleurs que
Valérie Trierweiler ait « un complexe social vis-à-vis de (lui) ».
">17 août 2016