Durant sa relation avec Vanessa Paradis, Florent Pagny aurait régulièrement été pris pour cible, et aurait pu compter sur le soutien d’un célèbre acteur.
La décision de la Cinémathèque française de reporter sine die, « dans un souci d’apaisement », la rétrospective consacrée à Jean-Claude Brisseau, doit sans doute réjouir Vanessa Paradis qui ne garde pas un bon souvenir de leur collaboration.
« Dans un souci d’apaisement, Costa-Gavras, président de la Cinémathèque française, a décidé de repousser la rétrospective consacrée à Jean-Claude Brisseau, initialement prévue en janvier 2018. Il espère qu’elle pourra se tenir très prochainement dans un climat plus serein et plus propice à la bonne réception de cette oeuvre importante du cinéma français », indique le communiqué de cette institution.
Cette décision ne manquera de réjouir Vanessa Paradis traumatisée à vie par le réalisateur qui l’a dirigée dans Noces Blanches, comme le rappelle France Dimanche.
« Elle a 16 ans quand elle tourne Noces Blanches, de Jean-Claude Brisseau, aux côtés de Bruno Carmer. Ce premier film lui vaut le césar du meilleur espoir féminin en 1990 », rappelle le magazine people.
Vanessa Paradis garde un souvenir de cette collaboration.
« Brisseau pourrait faire ce qu’il veut. Je ne retournerai pas avec lui », avait-elle confié à l’époque dans les pages de Première.
Pierre Terrasson, auteur de “Vanessa Paradis, les années Lolita”, avait déjà évoqué le traumatisme de l’ex de Johnny Depp.
« Brisseau avait une direction d’acteurs très compliquée. Du genre prof, pas cool. Vanessa Paradis n’avait que 16 ans, il la faisait répéter jusqu’à 14 heures par jour, avait-il confié. Elle pleurait très souvent, c’était dur moralement ».
Le réalisateur de « Noce blanche » avait été condamné en 2005 pour le harcèlement de deux jeunes actrices.
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