« Oui, j’ai été bousculé par les questions de polygamie, de schéma familial. Les voyages et ce genre de rencontres nous permettent aussi de savoir ce qu’on ne veut pas dans la vie. J’ai aimé et accepté ces gens, comme ils étaient, même si certaines de leurs pratiques sont contraires à mes convictions. S’intéresser à l’autre, ce n’est pas être dans le jugement », a-t-il indiqué.
Le coach a aussi eu le temps d’échanger avec les femmes du village, une fois la timidité surmontée.
« Elles étaient très contentes qu’on s’intéresse à elles, notamment lorsqu’on construisait le camp ensemble. Elles se sont ouvertes à nous ».
Durant son séjour en Ethiopie, il y a eu beaucoup de temps morts, et passaient avec Raphaël de Casabianca les après-midis dans l’ombre, sans téléphone ni livre. Et il en profitait pour écrire des chansons.
« Etre loin de tout et avoir du temps, c’est très inspirant. J’ai un carnet de bord de là-bas, dans lequel j’ai composé des chansons ».