Les obsèques d’Alain Delon se sont déroulées dans une ambiance sobre et intimiste, comme il l’avait souhaité.
Actuellement à l’affiche de « La Loi du marché », dernière réalisation de Stéphane Brizé, Vincent Lindon se livre dans les colonnes de « Télérama ».
Et à cette occasion, celui qui pourrait décrocher un prix d’interprétation au 68e Festival de Cannes avec son dernier film, se livre non seulement sur ses convictions politiques, mais aussi sur les femmes de sa vie et notamment sa fille, Suzanne, fruit de sa relation avec Sandrine Kiberlain.
Cette dernière est la seule au monde avec qui, il « parle naturellement ».
« Ma fille, c’est la seule femme au monde à qui je parle naturellement et qui me dit en retour, le plus simplement du monde, ce qu’elle veut », a-t-il déclaré dans « Télérama ».
Et de ses parents et de ses valeurs de gauche, il en parle cette fois dans les pages du « Journal du Dimanche ».
« Mon coeur est à gauche et n’appartient à aucun parti », dit-il.
« J’essaie d’avoir de l’éthique, une valeur magnifique et un drôle de mot, car j’en ai plein, moi, des tics. Mais bon, il y a sans doute plein de fois où je n’ai pas été à la hauteur’, explique-t-il avant de préciser que sa conscience sociale lui vient de son père, qui « a toujours été dans l’inconfort », mais aussi de sa maman, qui n’avait jamais eu d’a priori, « une qualité extrêmement rare que je ne retrouve jamais chez personne, y compris chez moi ».
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