Le scandale autour d’Alain Delon et de son ancienne dame de compagnie, Hiromi Rollin, prend une tournure des plus sombres, révèle France Dimanche.
En confidence avec « Le Monde » dans le cadre de la promotion de « Présidents » et surtout OSS 117 dans Alerte rouge en Afrique noire, de Nicolas Bedos, projeté en clôture du Festival de Cannes, Jean Dujardin a ignoré l’attaque d’Alain Delon dont il ne cite pas le nom. En revanche, il fait l’éloge de Jean-Paul Belmondo, son idole.
Dans Paris Match fin juin, il était demandé à Alain Delon s’il voyait un successeur dans la nouvelle génération.
« Des jeunes acteurs de votre veine ? », lui était-il demandé.
« Vous me paralysez. Je ne vois pas du tout, non. Je n’en connais pas », répondait. Les noms Brad Pitt et Matt Damon avaient été cités.
« Je ne sais pas, je les connais peu. Et je ne les vois pas comme moi, je les vois comme ils sont eux : bien », poursuivait Alain Delon avant de lancer un tacle gratuit à l’encontre de Jean Dujardin.
« Pff… Pardon ? », s’interrogeait-il lorsqu’une comparaison a été faite avec l’acteur oscarisé.
Auprès du Monde, le mari de Nathalie Péchalat a préféré ignorer le tacle et a rappelé avoir toujours aimé les acteurs dont Jean-Paul Belmondo.
« Je les imitais, je rejouais certaines scènes de Belmondo dans Le Magnifique, de Gérard Lanvin dans Est-ce bien raisonnable ? Les voix françaises de doublage ont également beaucoup compté pour moi. Elles m’accompagnent encore aujourd’hui. Je les ai dans les oreilles. Le rire d’OSS vient de Paul Newman dans L’Arnaque ; son ton, c’est la voix française de Sean Connery dans Docteur No », explique-t-il.
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