Albert et Charlène de Monaco forment un couple qui n’a jamais laissé indifférent. Leur vie à deux a connu son lot de hauts et de bas, avec des moments de doutes, mais aussi de grande complicité.
Et comme le rappelle Ici Paris,le mystère entoure leur rencontre.
En 2021, la princesse s’était éloignée du Rocher pendant six mois pour se soigner en Afrique du Sud, son pays d’enfance.
Cette décision avait suscité de nombreuses spéculations, certains y voyant le signe d’une lassitude face à ses obligations princières.
À son retour, elle avait choisi de poursuivre sa convalescence dans une clinique privée en Suisse, loin des regards indiscrets.
Depuis son rétablissement au printemps 2022, Charlène de Monaco a repris sa place aux côtés d’Albert, notamment lors des Jeux Olympiques de Paris où elle est apparue au top.
C’est dans ce contexte que le couple a accordé un entretien à Paris Match, profitant de l’occasion pour revenir sur les débuts de leur histoire, marquée par une première rencontre en 2001 lors d’une compétition de natation à Monaco.
Albert, qui a représenté Monaco en bobsleigh lors de cinq Olympiades d’hiver entre 1988 et 2002, se souvient de ce moment avec émotion. Charlène, de son côté, avait été sélectionnée pour représenter l’Afrique du Sud aux Jeux Olympiques de Sydney en 2000, en tant que nageuse spécialiste du dos crawlé.
Leur première rencontre, bien qu’amicale, n’avait pas immédiatement débouché sur une romance. Ce n’est qu’en 2006, lors des J.O. d’hiver de Turin, que leur relation s’est officialisée.
Le prince Albert a dévoilé des détails inédits sur cette première rencontre. Il se souvient avoir été impressionné par les talents de nageuse de Charlène, mais aussi par sa personnalité chaleureuse et accessible.
La soirée qui a suivi la compétition leur a permis de mieux se connaître, même si elle a causé quelques ennuis à Charlène, comme elle l’a elle-même avoué. « C’est vrai que j’ai eu quelques ennuis ce soir-là, mais on ne va pas tout raconter... », a-t-elle confié avec pudeur.
Le couple a ensuite évoqué leur vie commune, qu’Albert a comparée à une "course de relais" nécessitant une négociation constante et un soutien mutuel sans faille.
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