Alexandra Lamy, qui se revendique très féministe, semble faire partie des personnalités ciblées par Nicolas Bedos sur Instagram, où il est question des manifestations en Iran.
« Oui, j’ai eu des petits coups de gueule avec certaines de mes camarades, surtout au début de #MeToo. J’entendais : "Oh, ça va...". Ah bon, vraiment ? Mais qui est tombé en France ? Personne », lâchait l’ex-femme de Jean Dujardin lors d’un entretien accordé à Terrafemina, où elle présentait sa première réalisation "Touchées", sur les violences conjugales.
« Et pourtant, on les connaît tous. Aucun d’entre eux n’a été inquiété et ils sont même sauvés par la prescription. Jusqu’au bout, on aide les agresseurs, c’est dingue ! Il nous faut des porte-paroles qui soient fortes, qui ne lâchent pas l’affaire. Sans cela, Harvey Weinstein ne serait jamais tombé ».
Alexandra Lamy a aussi dénoncé sur les réseaux sociaux la répression meurtrière des manifestations en Iran, déclenchées par la mort de Mahsa Amini il y a plus de deux semaines.
Sur sa story Instagram, Nicolas Bedos a dénoncé « cette poignée de Robespierre confondant féminisme et maccarthysme afin de régler des comptes personnels et politiques », écrit-il sur ce réseau. L’acteur-réalisateur ne livre aucun nom.
« Des femmes se font flinguer en Iran parce qu’elles demandent à être libres (dans l’indifférence affichée des premières ».
Il semble peut-être cibler les députées Danièle Obono et Sandrine Rousseau.