Le Jean Dujardin, qui a marqué le monde de la comédie avec la mi-série "Un gars, une fille » ne garde pas que des souvenirs positifs de cette expérience de tournage avec Alexandra Lamy.
Actuellement à Sète dans le sud de la France comme elle le confirme sur son Instagram, Alexandra Lamy risque d’être froissée par une sortie inattendue de la réalisatrice Maïwenn.
La réalisatrice balance sur les féministes, très mobilisés contre Roman Polanski, accusé d’agression sexuelle par plusieurs femmes. Alexandra Lamy en fait partie.
L’ex-femme de Jean Dujardin est mobilisée contre les violences contre les femmes, et avait été choisie durant le confinement en qualité de marraine d’une grande opération menée dans le Gard.
Pour l’occasion, la séduisante blonde avait porté à « une pharmacie d’Anduze les premiers sacs distribués dans le département, sur lesquels sont inscrits les contacts d’urgence pour les victimes » de violences.
Elle avait aussi apporté son soutien à Adèle Haenel, qui avait quitté la cérémonie des Césars suite au sacre de Roman Polanski pour sa dernière réalisation "J’accuse" mettant en vedette Jean Dujardin.
La démarche des féministes dont Alexandra Lamy est dénoncée par Maïwenn.
"C’est fou ce qu’elles peuvent dire comme conneries (...) Polanski a reçu un prix pour un film formidable (J’accuse, ndlr), où est le problème ? On ne lui a pas non plus décerné un prix Nobel !", lance la réalisatrice.
"Adèle Haenel doit avoir un gros bobo quelque part, pour être partie comme elle l’a fait", glisse-elle. " Quand j’entends des femmes se plaindre que les hommes ne s’intéressent qu’à leurs fe**es, je leur réponds : Profitez-en bien, ça ne va pas durer !".
Loin d’être dérangée par le harcèlement de rue, Maïwenn avoue même qu’elle apprécie être draguée : "J’espère que les hommes me siffleront dans la rue toute ma vie. Je ne me suis jamais offensée parce qu’un homme portait un regard bestial sur moi. Au contraire, je prends ça comme un compliment", a-t-elle déclaré.
Et elle va plus loin sur TV5 Monde.
"Certaines néo-féministes ont fait qu’il y a beaucoup de gens qui ont peur d’en parler. Je trouve ça grave parce que ça prend en otage les autres paroles et ça bafoue la présomption d’innocence", a-t-elle commencé avant de poursuivre : "je voulais apporter un peu de nuance mais moi, Polanski je m’en fous, Adèle Haenel je m’en fous, je veux juste mettre un peu de nuance dans tout ce qui a été dit".
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