Dans le cadre de cette émission, il était accusé d’avoir usé de son influence en tant que patron groupe Publicis pour placer son épouse dans le fauteuil laissé par David Pujadas, viré comme un malpropre à la tête du 20h de France 2.
Cette accusation, l’homme d’affaires la dément fermement.
« Je n’ai jamais financé la moindre campagne et trouve ce sexisme insupportable ?! », a-t-il déclaré.
Et d’aller ensuite de sa menace de porter l’affaire devant la justice, si des excuses ne lui étaient étaient pas présentées.
Ces accusations d’autant plus étonnantes que contrairement à beaucoup de ses collègues, Anne-Sophie Lapix a toujours refusé de copiner avec des personnalités politiques afin de conserver son objectivité journalistique.