A l’époque il était le porte-parole de Ségolène Royal.
Ségolène Royal n’a qu’un seul défaut, c’est son compagnon », avait-t-il lancé à l’encontre de celui qui n’était alors que « le Premier secrétaire du Parti socialiste ».
Il avait finalement été forcé de s’excuser. Une mise à pied d’un mois avait à l’époque été décidé à son encontre.
">9 octobre 2016
Cette histoire avait aussi été évoquée dans « Le Vicomte », la biographie écrite par Maud Guillaumin.
« Il sait qu’il est allé trop loin », glissait Maud Guillaumin à propos de cette boutade.
Pour le « punir », Ségolène Royal l’avait suspendu de ses fonctions durant un mois.
« Je lui ai dit que ses propos étaient déplacés », s’était-elle justifiée, rappelait l’auteure du « Vicomte », qui affirmait que le compagnon d’Aurélie Filippetti sait être un « personnage clivant », animé d’un « côté jusqu’au-boutiste (qui) peut agacer ».
Arnaud Montebourg était même surnommé « le fou du troisième étage » lorsqu’il était le patron à Bercy nous apprenait par ailleurs Maud Guillaumin.