Aya Nakamura a marqué les esprits lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques grâce à une prestation remarquée, saluée par le public. Quelques semaines plus tard, la chanteuse a décidé de briser le silence et de répondre à ses détracteurs.
Aya Nakamura fait son grand retour dans les bacs avec un nouvel opus, DNK, son quatrième album. Pour l’occasion, elle a levé le voile sur son passé, et confirme que sa vie n’a pas été reluisante. Le magazine Public évoque même un avortement forcé.
En réalité, elle n’a pas avorté, malgré la pression de son entourage musical.
L’hebdomadaire reprend une révélation du journal Le Monde, qui lui a consacré un dossier, où il a été question des vérités enfouies dans son passé.
Alors que sa carrière venait à peine de s’amorcer à l’âge de 20 ans, Aya Nakamura tombait enceinte de son premier enfant. Et il lui a été demandé de subir un avortement.
« Lors de ma première grossesse, je commençais à faire un peu de bruit », se souvient Aya Nakamura, qui revient sur cette sombre épisode. « On m’a dit que, si je voulais vraiment être chanteuse, il fallait que j’avorte. J’ai refusé ».
Et elle est maman de deux filles de 7 ans et 6 mois.
Et cette décision de garder l’enfant prise contre son entourage musical confirme la force de sa personnalité.
Au-delà de l’éclairage qu’apporte ce témoignage sur l’impitoyable violence de l’industrie du disque vis-à-vis des femmes, il confirme la force de caractère de la chanteuse, désormais maman célibataire de deux filles de 7 ans et 6 mois.
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