En 2021, le prince Harry et Meghan Markle étaient au cœur d’un scandale majeur lorsqu’ils ont été sommés de quitter précipitamment le bâtiment des Nations Unies.
C’était le lundi 5 juin 2023, une date attendue pour le procès de l’agression brutale de Jean-Baptiste Trogneux, le petit-neveu de Brigitte Macron.
Après une médiatisation intense, le verdict est tombé : deux prévenus écopent de 12 et 15 mois de prison ferme, selon les informations rapportées par France Bleu Picardie.
Le lundi 15 mai 2023, peu de temps après l’interview d’Emmanuel Macron sur TF1, une manifestation a éclaté à Amiens. Au cours de cet événement, Jean-Baptiste Trogneux a été pris pour cible par une dizaine de personnes. Le jeune homme de 29 ans a été violemment agressé devant la chocolaterie familiale. "Il a subi des blessures à la tête, au visage, au genou et à un doigt", a déclaré Alexandre Trogneux, le père de la victime. Depuis cette agression, la victime n’a pas encore fait de déclaration publique.
Le verdict de la justice est rendu !
Ce lundi 5 juin 2023, trois hommes ont comparu devant le tribunal d’Amiens (Somme) pour répondre de l’agression de Jean-Baptiste Trogneux. Alors que deux prévenus ont été condamnés à des peines de 12 et 15 mois de prison ferme, le troisième a été relaxé. Selon les détails rapportés par France Bleu Picardie, le principal suspect a écopé de 30 mois de prison, dont 15 ferme, tandis que le deuxième prévenu a été condamné à deux ans de prison, dont un ferme. Il est à rappeler que le procureur avait requis quatre ans de prison, dont six mois avec sursis, pour le principal accusé, 36 mois, dont six avec sursis, pour le second, et deux ans, dont six mois avec sursis, pour le dernier.
Lors de son interrogatoire devant le tribunal, le premier prévenu a admis avoir donné une claque à Jean-Baptiste Trogneux, précisant ne pas le connaître. Le deuxième, âgé de 35 ans, a reconnu avoir déplacé une poubelle devant la chocolaterie. Cependant, il a nié toute implication dans les violences physiques contre le petit-neveu de Brigitte Macron. "Ce sont des jeunes qui ont connu des parcours chaotiques, avec notamment des problèmes d’ordre psychologique", a témoigné Maître Marc Blondet, l’un des avocats. Les deux prévenus condamnés restent en détention.
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