Dans Paris Match au début du mois, la première dame confiait "avoir adopté, dès les premiers jours de mars, les indispensables gestes barrières".
"Y compris la distanciation sociale si peu compatible avec son tempérament si avenant", précisait la publication.
Et ces gestes barrières et le mesures de confinement, mesure absolu pour contrer le coronavirus, ne sont pas du tout partagés par Brigitte Bardot, qui livre son ressenti dans Paris Match ce 28 ami.
"Je trouve qu’il y a eu une grande exagération", a indiqué la porte-parole de la cause animale. "Mais on est quand même obligés de vivre. On ne peut plus continuer à être interdits de restaurant, de plages. Quitte à mourir, au moins mourons heureux ?!".
Et au cours de cet entretien, elle s’estime privée de liberté en France, où elle ne pourrait rien dire.
"On est obligés d’avoir la langue de bois, ou alors on a des problèmes", a fait savoir celle qui souvent visée par des plaintes pour ses prises de positions.
"Le dernier en date, c’est parce que j’ai dénoncé ce qui se passe sur l’île de La Réunion, cette île sauvage, cruelle, où ils utilisent des chiens et des chats pour la chasse aux requins".