La nature de cette transformation a été précisée par "Le Parisien" dans son édition de 16 septembre.
Le chef de l’État n’hésiterait désormais plus à recourir aux piques et" à la petite phrase".
Et l’un de ses proches confirme qu’il s’agit là d’un changement radical de registre, à un an et demi de la présidentielle, et à six mois des régionales.
"Comme une plongée en mode « campagne » et le souhait de tirer profit au mieux des difficultés des écologistes après les polémiques sur le Tour de France et sur les arbres de Noël", précise la publication.
Dans le passé, surtout au plus fort de la crise des Gilets Jaunes, Brigitte Macron n’avait pas hésité à recadrer son mari auquel elle aurait reproché d’avoir attrapé la grosse tête.
Cette confidence a été livrée par Robert Schneider, auteur de « Première dames ».
« Durant la crise des Gilets Jaunes », Brigitte Macron a « compris » que le chef de l’État prenait « la grosse tête ».« Elle le lui a dit. Fermement. Car elle est très attentive au respect des autres. Les petites phrases méprisantes, elle n’a pas trop apprécié », a fait savoir le journaliste.