Jack, le fils de Johnny Depp et Vanessa Paradis, aurait-il pris exemple sur ses célèbres parents en matière de consommation de cannabis ? Une photo de lui avec un joint circule sur les réseaux sociaux, jetant ainsi le doute sur ses habitudes.
Les tensions s’intensifient entre Emmanuel Macron et Élisabeth Borne, et les rumeurs d’un remaniement gouvernemental avant la fin des "cent jours" se multiplient. Mais qu’en est-il réellement de la position de l’épouse du président ?
Gala s’interroge sur la nature de leur relation. La première dame serait un soutien dans l’ombre de la première ministre, elle-même très régulièrement ciblée par les rumeurs sur sa vie sentimentale.
Alors que la cheffe du gouvernement est sous le feu des critiques depuis la controverse sur les retraites, la locataire de Matignon risque de subir des revers dans un futur proche. Le président de la République avait initialement fixé une échéance de cent jours, se terminant mi-juillet, pour un possible remaniement. Il se disait que François Baroin, l’ex de Michèle Laroque, pourrait être sollicité.
Cependant, des murmures en provenance de l’Élysée laissent entendre que cette date pourrait être avancée. En cause, une maladresse de la cheffe de l’exécutif qui, lors d’une interview sur Radio J , a comparé le Rassemblement national à l’idéologie du maréchal Pétain.
Mais dans l’ombre, ’Élisabeth Borne jouirait d’un soutien de poids.
Mais quelle est la position de Brigitte Macron dans tout cela ? Lors de la nomination d’Élisabeth Borne à la tête de Matignon le 16 mai 2022, la Première dame s’est réjouie de voir une femme occuper ce poste.
Dans les coulisses du JT de 13 heures sur TF1, l’épouse d’Emmanuel Macron a exprimé sa joie et son soutien à l’idée de voir enfin une femme occuper le rôle de Première ministre en France. En offrant ses encouragements à la nouvelle recrue du gouvernement, elle a également souligné les défis auxquels Élisabeth Borne pourrait être confrontée. "C’est la bonne personne au bon poste. En tant que femmes, lorsque nous sommes nommées quelque part, la pression est encore plus forte car nous sommes scrutées de près."
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