
Pour cette seconde journée de visite d’État, Brigitte Macron a affronté un véritable marathon d’engagements officiels, enchaînant les rendez-vous sans un moment de répit.
Depuis plusieurs années, Brigitte Macron fait face à des attaques récurrentes sur les réseaux sociaux. Une théorie complotiste particulièrement virulente affirme qu’elle ne serait pas née femme. L’épouse d’Emmanuel Macron serait blessée par ses bruits.
Si cette rumeur, totalement infondée, a déjà circulé en France, elle vient de prendre une nouvelle ampleur à l’international, rapporte le magazine Public, qui affirme la première dame en sa Une.
Candace Owens, une youtubeuse américaine proche de Donald Trump, a relayé ces accusations devant ses millions d’abonnés. Aucune preuve n’est avancée, mais la diffusion massive de ces propos leur donne un écho inquiétant.
À l’Élysée, l’entourage de la Première dame ne cache pas son exaspération.
« C’est usant de faire l’objet de si sordides rumeurs. Brigitte Macron est humiliée. Qui ne le serait pas à sa place ? », confie un proche.
En septembre dernier, la justice a condamné Amandine Roy et Natacha Rey, deux femmes à l’origine de cette fausse information, à verser 8 000 euros de dommages et intérêts pour diffamation.
Pourtant, cela n’a pas suffi à mettre un terme aux attaques.
Sur X, anciennement Twitter, les messages mensongers continuent d’affluer. Malgré une plainte déposée en août dernier pour cyberharcèlement et une enquête en cours, la désinformation persiste. "Le fait qu’aujourd’hui, rien ne les arrête. Ni le manque de preuves ni la peur du ridicule", déplore un observateur du dossier.
Si Brigitte Macron ne s’exprime pas publiquement sur ces attaques, son entourage assure qu’elle est touchée par leur violence. Pour l’instant, aucune nouvelle action en justice n’a été annoncée, mais la Première dame, qui n’a jamais cherché à alimenter la polémique, semble décidée à ne pas se laisser atteindre par ces allégations infondées.
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