Carla Bruni serait sans doute pétrifiée d’angoisse pour son mari, Nicolas Sarkozy, qui vient de faire face à une situation des plus troublantes.
Carla Bruni, que le magazine Ici Paris, affirme fragilisée par la maladie, ne réjouit pas à cette rumeur, en revanche, elle apporte son soutien à Sofiane Bennacer, le compagnon de Valeria Bruni-Tedeschi. Il est accusé de viol.
Et ce 24 novembre, il fait la Une de Libération, où il est question d’un scandale, alors qu’il n’est toujours jugé dans le cadre de cette affaire, ébruitée par le Parisien.
Enragée et furieuse, la chanteuse s’est emportée contre le quotidien.
« Condamner à la une d’un journal, de nos jours, c’est condamner tout court.
C’est crucifier quelqu’un, sans même savoir ce qu’il en est vraiment. C’est bafouer l’un des fondements de nos démocraties.
Je suis solidaire de toutes les femmes par principe, solidaire, engagée et acharnée pour défendre toute victime et son combat, il y a eu tant d’abus , il y a tant eu tant d’impunité depuis tant de temps et les bourreaux ont si rarement été punis », a-t-elle indiqué.
« Mais la féministe que je suis toujours depuis, veut dire aujourd’hui que l’on ne soulage pas la douleur des victimes en accordant des nouvelles victimes de manière sauvage et aléatoire et tout aussi injustement ».
Elle accuse ensuite Libération d’avoir renoué ses valeurs, et l’accuse d’être devenue « une enseigne vide, un pauvre reste de gloire passée, une illusion ».
« Mon soutien total et absolu à ma sœur #Valeria Bruni Tedeschi ». Et dans le hashatag, elle apporte aussi son soutien à Sofiane Bennacer.
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