Charlène de Monaco vient de marquer un point dans sa rivalité avec la princesse Caroline, et elle ne fait aucun mystère sur le fait qu’elle est la numéro un dans la principauté, notamment du côté de son mari, le Prince Albert.
Charlène de Monaco a prouvé qu’elle n’était pas une princesse classique. Et avec le temps, Caroline de Monaco, gardienne du clan Grimaldi, serait parvenue à la déchiffrer.
Comme le rappelle le magazine Royauté, la première dame du Rocher n’est pas une princesse classique, comme une Kate Middleton ou comme une Caroline de Monaco.
Elle l’avait prouvé avant la crise sanitaire en se rasant la tête façon punk, une manière pour l’ex-naïade de rappeler qu’elle apprécie nager à contre-courant.
Et plus d’une fois, elle est apparue les larmes aux yeux.
Pour Joel Stratte-McClure, une spécialiste des têtes couronnées, qui s’est confié au New York Times, Grace Kelly a elle aussi vécu une période « terrible durant les premières années de son mariage, comparable à ce que traverse Charlène aujourd’hui ».
Des propos soulignés par un proche du clan Grimaldi, cité par ce magazine.
« Charlène a toujours eu soit un air de détachement total par rapport à ce qu’on pouvait penser d’elle, soit un masque de souffrance que rien ne pouvait illuminer. Elle a toujours été difficile à cerner, indéchiffrable. Elle n’était pas une femme trophée, comme on en croise souvent à Monaco. Elle n’était pas non plus une intrigante ».
A distance, Caroline de Monaco serait parvenue à la comprendre, en lui laissant prendre toute la lumière, en lui donnant des marques d’affection, qui serait une priorité l’épouse du prince Albert.
Et depuis, elle est impliquée plus que jamais dans ses œuvres caritatives. Vulnérable, elle aurait eu besoin de sentir qu’elle est appréciée.
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