
Après une période difficile marquée par des épreuves personnelles, notamment une dépression pour laquelle elle aurait suivi une cure en Suisse, Charlène de Monaco semble avoir retrouvé son éclat.
L’avenir de la principauté n’est pas en péril à cause du scandale provoqué par l’Affaire Rybolovlev, a assuré le prince Albert de Monaco.
L’époux de Charlène de Monaco brise le silence lors d’un entretien accordé à Monaco-Matin, occasion de revenir sur ce scandale, impliquant l’oligarque russe Dmitri Rybolovlev, propriétaire de l’AS Monaco.
Ce scandale a provoqué la démission du directeur des services juridiques de la principauté.
Il y est question d’une affaire de vente de tableaux et de ports francs.
Et le prince Albert de Monaco en profite pour confirmer que son autorité n’est pas remise en cause par cette regrettable affaire sur laquelle Paris Match est revenu la semaine dernière.
« Je peux vous réitérer que j’ai toute confiance dans la justice et la police », affirme le souverain, estimant « très exagéré » le terme donné à cette affaire, « MonacoGate ».
« C’est inapproprié parce que c’est une affaire qui concerne la justice monégasque et son plus haut fonctionnaire mais le devenir de l’Etat de la principauté n’est pas en péril », précise le prince.
« Depuis le "WaterGate", dès qu’il y a une affaire qui touche un Etat et qui est un peu spectaculaire, on y accole le terme "Gate". C’est un peu trop facile », regrette-t-il.
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