Vélo, randonnée, chasse : voilà les raisons pour lesquelles Charlène et Albert de Monaco se sentent si bien dans le nord de la France.
Albert II de Monaco a pris la décision de se livrer dans les colonnes de Paris, occasion pour le souverain de faire état d’une trahison qui lui est resté en travers de la gorge. L’un des conseillers a balancé sur les dépenses présumées excessives de la princesse Charlène.
« Ce sont des moments difficiles. Vous savez, ce n’est jamais facile de se sentir trahi par des personnes qui, au départ, étaient de confiance et dont on s’aperçoit, lorsque l’on scrute d’un peu plus près, que le travail n’était pas bien fait et de façon un peu opaque, avec des montages compliqués… », indique-t-il dans un premier temps.
Le prince souverain du Rocher semble encore désabusée face à cette trahison de son ancien ancien chargé d’affaires, celui qui gérait le patrimoine des Grimaldi.
Le papa de quatre enfants rappelle que ses nombreuses années d’expérience lui ont permis d’acquérir une « certaine carapace ».
Certaines choses l’ont affecté, mais le mari de Charlène de Monaco préfère aller de l’avant.
Au cours de cet échange avec Stéphane Bern, Albert de Monaco rappelle que ce n’est pas la première épreuve qu’il traverse.
« Ce n’est pas la première épreuve que je traverse, et il y en aura d’autres. Mais vous savez, cette expression qui dit que les emmerdements volent en escadrille est assez juste », dit par ailleurs l’époux de Charlène de Monaco. « Une accumulation de petits problèmes, ici au palais, au gouvernement ou plus personnels, s’ajoute à cette affaire ».
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