
Le magazine Choc s’intéresse à la relation entre Charlène et Albert de Monaco, occasion de raviver une ancienne rumeur. Un accord financier de 12 millions d’euros par an aurait été négocié.
Si Charlène de Monaco est plus naturelle et bien plus souriante, c’est qu’elle aurait été coachée pour mieux soigner ses apparitions publiques.
La princesse du Rocher était perçue comme « froide », comme le rappelle le magazine « Oggi ».
Le magazine italien était pourtant l’une des publications qui s’en étaient pris à l’épouse du prince Albert de Monaco.
« Elle est austère dans ses looks - elle porte une robe noire et bleue très structurée - et pas seulement, avec son mari, elle échange seulement quelques mots et les regards et les sourires se font au compte-gouttes », commentait le média.
Et s’elle semble mieux désormais, ce serait surtout grâce Corinna zu Sayn-Wittgenstein, la supposée ancienne maîtresse du roi Juan Carlos.
Les deux femmes ne se lâchaient plus d’une semelle et avaient fait une apparition très remarquée aux funérailles de Nelson Mandela.
A en croire « Vanity Fair » cette fois, ce serait le prince Albert qui aurait fait appel aux services de cette aristocrate allemande en vue de délivrer des conseils à Charlène de Monaco dont l’image était à l’époque « écornée » en raison de prétendus faux-pas.
Corinna zu Sayn-Wittgenstein serait restée dans la principauté quelques mois avant d’en être écartée en raison de son image « sulfureuse ».
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