Dans un témoignage touchant sur sa story Instagram, Caroline Receveur partage son expérience face à la maladie. Tout comme Florent Pagny, elle fait face à un cancer et a subi des séances de chimiothérapie.
Les espoirs de résoudre ses graves problèmes de santé semblent s’envoler pour Charlène de Monaco. Serait-elle en train de « replonger dans la dépression ? », s’interroge le magazine Public, qui lui consacre sa Une.
Les 27 et 28 mai derniers, un vent de célébration soufflait sur le Rocher. Comme chaque année, la Principauté accueillait le Grand Prix de Monaco de Formule 1, attirant de nombreuses stars venues soutenir Lewis Hamilton, Fernando Alonso, et le vainqueur, Max Verstappen.
Et évidemment, la famille princière de Monaco était là au grand complet.
Cependant, alors que le prince de Monaco affichait un sourire radieux comme à son habitude, Charlène de Monaco paraissait malheureusement être bien moins présente.
Ce jour-là, « même le motif arc-en-ciel de sa robe peinait à masquer son air sombre », rappelle la publication.
Comme si esquisser un sourire était déjà « un effort surhumain pour elle », et qu’elle se sentait plus éloignée d’Albert que jamais en se tenant à ses côtés.
Pour appuyer son propre, l’hebdomadaire se base sur les analyse de Judi James, experte en langage corporel, qui se livre dans le média anglais The Express.
« Elle paraissait tendue et isolée", a immédiatement analysé Judi James, experte en langage corporel, dans l’Express anglais. La position de ses épaules et de ses mains suggère une certaine tension."
D’ailleurs, sur les réseaux sociaux, d’autres internautes n’ont pas tardé à exprimer la même opinion. "Elle semble ne pas vouloir être là", affirmait l’un d’entre eux. "Elle a l’air fatiguée et malheureuse. On peut sentir une tension entre elle et Albert", ajoutait un autre.
À quelques semaines seulement de leur douzième anniversaire de mariage, le 2 juillet, les parents de Jacques et Gabriella seraient-ils en crise ? Pire encore, Charlène serait-elle retombée dans la spirale de la dépression. Le magazine Public le laisse entendre.
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