
Charlotte Casiraghi absente du Festival de Cannes cette année. L’an dernier, elle y avait fait une apparition très remarquée avec son mari, Dimitri Rassam. Mais suite à l’implosion de leur couple la donne a changé. Le producteur rayonne avec son...
Alors que le festival de Cannes s’ouvre ce 17 mai, Charlotte Casiraghi pourrait y faire une apparition, et pourquoi pas s’y rendre avec son nouveau compagnon, le producteur Dimitri Rassam, le fils de Carole Bouquet.
L’éventualité que les tourtereaux se rendent ensemble à Cannes a été évoquée en avril dernier par le magazine Voici qui se demandait si la fille de Caroline de Monaco officialisera avec son nouveau chéri à Cannes.
« Pour rien au monde, Dimitri, producteur de cinéma ambitieux et reconnu, ne voudrait louper la 70 ème édition du Festival de Cannes », indiquait dans un premier temps l’hebdomadaire.
Charlotte Casiraghi qui en 2015 « avait déjà monté les marches, pourrait le rejoindre, « créant ainsi ce qui pourrait être l’événement people de la quinzaine ».
« Une belle manière d’afficher leur amour au grand jour », était-il indiqué.
De Dimitri Rassam, il en était aussi question Paris Match, qui revenait sur son parcours.
Le jeune producteur de 35 ans « a connu son premier succès avec « Le Prénom », lui qui cherche à s’en faire un. Le père de Dimitri, Jean-Pierre Rassam, était le producteur de Godard, Pialat ou Polanski ».
C’est en 1985, que le mari de Carole Bouquet « succombe à une forte dose de barbituriques », alors que leur fils Dimitri n’avait que quatre ans.
Paris Match précisait ensuite que c’est à l’âge de 23 ans que le jeune homme a lancé sa propre boite de production.
Télé Loisirs avait aussi donné des précisions sur ce beau brun qui « a le regard bleu azur de sa mère, et l’immense talent de son père, Jean-Pierre Rassam », producteur d’origine libanaise qui s’est suicidé à l’âge de 43 ans.
« Né en 1981, Dimitri Rassam marche très vite dans les pas de ses illustres parents, s’intéressant lui aussi au septième art, après un bac scientifique et une licence d’Histoire à la Sorbonne. Comme le reste de sa famille (…), Dimitri Rassam fait le choix de devenir producteur. Et c’est dans les années 2000 qu’il lance ses sociétés de production : Chapter 2, Little Princess et Upside Down », indiquait la publication.
Alors que sa nouvelle adaptation du film « Le Petit Prince » est présentée l’an dernier hors-compétition au Festival de Cannes en 2015, il reçoit un an plus tard « le César du meilleur film d’animation ». « C’est la consécration pour le producteur, à qui l’on doit également les deux volets de Papa ou Maman ».
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