Charlène de Monaco célèbre ses 11 ans de mariage et depuis ce jour, elle porterait une sorte de fardeau. Elle compose avec son image de princesse triste.
Après avoir passé du bon temps dans le sud de la France, Charlotte Casiraghi est attendue à Paris en novembre pour aller à la rencontre des passionnés de philosophie.
Le 21 novembre, la cavalière émérite présidera la nouvelle session des Rencontres Philosophiques, des rencontres qu’elle a co-fondées avec son ex professeur à la Sorbonne.
« Le 21 novembre. Nous réfléchissons aux thèmes. Chacun d’entre nous à son petit cheval de bataille. Il n’y a pas une seule façon de faire de la philosophie. Nous avons tous notre propre sensibilité », a confié la fille de Caroline de Monaco à « Marie-Claire », qui n’a pas manqué de l’interroger sur le peu de femmes dans ses rencontres.
« Je n’aime pas du tout l’idée d’imposer des quotas. C’est quelque chose qui, selon moi, doit se faire naturellement. Pour autant, nous avons besoin de la parole de femmes philosophes et vous avez raison de souligner qu’elles sont nombreuses », a expliqué celle qui est en couple depuis quelques mois avec Dimitri Rassam, le fils de Carole Bouquet avec qui elle s’est affichée cette année.
Et de poursuivre : « Dans notre jury, il y a en moyenne quatre à cinq femmes. C’est vrai que celles-ci sont moins médiatisées que les hommes. Mais il n’y a pas une sous-représentation des femmes en philosophie ».
« Beaucoup moins en tout cas que dans le cinéma où les réalisatrices restent rares. Il y a beaucoup de femmes qui m’inspirent en philosophie, notamment celles qui traitent de la question du féminin. Mais je ne pense pas qu’il y ait un combat à mener en philosophie pour représenter davantage la femme », a fait savoir Charlotte Casiraghi.
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