La fille de Stéphanie de Monaco avait, comme le rapportait ’France Dimanche’, reconnu qu’elle ne supportait pas la vie à Monaco, tout en faisant l’éloge de New York, villa pour laquelle elle avait eu un coup de coeur.
« Ce qui m’oppressait le plus, c’était la “petitesse”. Très vite, je me suis sentie à l’étroit. À Monaco, quand on a fait trois restaurants et deux cafés, on a fait le tour. », lançait la styliste.
Même si Charlotte Casiraghi ne l’exprime pas ou indirectement, elle doit sans partager l’avis de sa cousine à propos de la pression à Monaco.
En confidence avec « schweizer-illustrierte », Charlotte Casiraghi déplorait aussi la pression dont les femmes font l’objet, même dans un milieu privilégié.
La jeun maman en profitait aussi pour dénoncer ‘le point de vue’ général sur les mères, et évoque en filigrane son cas personnel, celui de mère.
Ces sorties médiatiques semblent avoir irrité le prince Albert qui a sonné la fin de la récré. Le mari de Charlène de Monaco a rappelé qu’être monégasque, ce n’est pas seulement des privilèges, c’est aussi des devoirs.
« Être Monégasque, c’est aussi avoir des droits et des devoirs. Par son travail, en Principauté ou à l’extérieur, cela implique de faire honneur à son pays dans la continuité de ceux qui nous ont précédés et dont la vie, à certaines périodes, était moins facile », a-t-il lancé lors d’un entretien accordé à ’Monaco-Matin’.