Christophe Castaner, ex-ministre de l’Intérieur, a vécu une mésaventure quelque peu inattendue le 17 octobre dernier, rapporte Closer.
Même si les moindres gestes de Christophe Castaner sont surveillés à la loupe par ses gardes du corps, la décision finale d’être protégé ou non lui reviendra toujours.
Closer consacre un long dossier à la sécurité du premier flic de France, et s’interroge notamment sur la raison de la fuite des photos de sa soirée torride dans une boite de nuit parisienne.
L’hebdomadaire qui a ébruité à la mi-mars la relation entre Christophe Castaner et une ancienne collaboratrice s’interroge en effet sur le fonctionnement de la protection « rapprochée des personnalités publiques en France ».
Et c’est l’occasion de préciser que contrairement aux Etats-Unis, ce sont les personnalité elles-mêmes, et dans ce cas du ministre de l’intérieur, de décider s’il veut être protégé ou non.
Les fonctionnaires « se plient donc aux souhaits de leur « patron ». Si le ministre ne veut pas être entouré, « s’il souhaite que sa sécurité reste à l’extérieur ou qu’elle laisse des vidéos se tourner », les policiers seraient dans le contrainte de s’exécuter.
Ce propos confirme une allégation de Voici, qui explique que le ministre n’en avait que faire d’être filmé ce jour là. Un gros signal à sa femme !