Il s’agit de la disparition de Christophe en avril dernier, trois deux ans après la décès de Johnny Hallyday, son ami d’enfance, rappelle le magazine "Ici Paris", qui l’affirme très fragilisé par la situation.
Il a perdu non seulement un ami, mais aussi un partenaire et "un compagnon de fête".
"Ma tristesse est profonde et durera un bon moment", reconnait Eddy Mitchell, terrassé par le chagrin. L’absence de son mari lui pèse.
Avec son regretté ami, emporté des suites du Covid-19, Eddy Mitchell partageait la même passion du cinéma, et un goût certain pour les années 50, ainsi que pour "certaines actrice, certains films".
" Je l’aimais et je l’admirais. Comme artiste et comme personne", a-t-il confié à ce sujet lors d’un entretien accordé aux Inrocks.
Son regret est de ne pas avoir pu dire au revoir à son pote, qui a perdu la vie à Brest, "sans personne, sans cérémonie".
"Cette saloperie de pandémie nous fait crever comme des chiens", déplore Eddy Mitchell, qui le soir de la disparition de Christophe, était au téléphone avec la fille de ce dernier, alors que la route de Brest pour se rendre au chevet de son père. Elle avait sollicité l’aide d’Eddy Mitchell. "C’est terrible, elle est arrivée trop tard à son chevet", a-t-il précisé.