L’ancien premier ministre avait perdu ses sourcils .
Mais contrairement à ce qui était affirmé, il ne s’agit pas de l’une des conséquences de sa maladie, vitiligo. Il s’agit d’une autre maladie.
La première, le vitiligo, est une maladie de l’épiderme se caractérisant par des taches blanches. Elles apparaissent et s’étendent sur n’importe quelle partie de la peau. Et cette maladie confirmée par Edouard Philippe atteint parfois la pilosité.
Mais depuis, il est aux prises avec une alopécie, a-t-il confirmé lors d’un accordé au Parisien, où il se livre à l’occasion du premier anniversaire de son parti Horizons. Cette maladie a provoqué la chute de ses sourcils.
« Je ne pouvais pas le planquer, ma barbe devenait blanche », explique l’homme politique, précisant qu’en plus du vitilgo, il est au prise avec une deuxième maladie auto-immune appelée l’alopécie, une affection, assez fréquente chez l’homme, se traduit par une accélération de la chute des poils et des cheveux sur certaines zones du corps.
« Et donc, très récemment, mes sourcils sont tombés. Je me suis longtemps demandé à quoi servait un sourcil. Eh bien, cela sert à se faire remarquer quand ça tombe ! C’est visible, cela peut arriver à tout âge. Il y a des gens pour qui c’est plus visible encore que pour moi d’ailleurs ! Mais ce n’est ni douloureux, ni dangereux, ni contagieux. Je suis en pleine forme, je fais de la boxe deux fois par semaine. Et croyez-moi, je me sens bien dans ma peau !", confie-t-il.