Carla Bruni, dans une vengeance terrible, ne compte pas rester les bras croisés alors que Nicolas Sarkozy vient d’être condamné à un an de prison ferme en appel, rapporte le magazine Ici Paris.
Il y a une quinzaine d’années, Edouard Philippe, le nouveau premier ministre, a failli en venir aux mains avec Nicolas Sarkozy.
D’après une information révélée par le Monde, l’ex maire du Havre s’en serait pris à celui qui allait devenir président de la république dans le cadre du congrès fondateur de l’UMP, au Bourget (Seine-Saint-Denis).
Nicolas Sarkozy avait à l’époque tenté de voler la vedette à Alain Juppé, candidat à la présidence du nouveau parti de droite voulu par Jacques Chirac.
Ce jour là, ce soutien du maire de Bordeaux avait alors empêché Nicolas Sarkozy de faire une rentrée triomphale.
Le nouveau chef du gouvernement raconte cet épisode dans les pages du Monde :
« Après les premières prises de parole, on me fait dire que le ministre de l’intérieur veut me voir. Dans la loge, il s’avance vers moi. Il me tape contre le poitrail avec le poing, et lâche : ’toi, tu ne me refais jamais ça !’ Il continue, je repousse son bras, nous sommes tous les deux déséquilibrés. Cela aurait pu déraper… Finalement, il s’est calmé d’un coup et moi j’étais flageolant », se rappelle-t-il.
Contrairement aux rumeurs, Edouard Philippe n’a jamais été antisarkoyste.
« Je n’ai jamais été sarkozyste. Mais globalement, je dis beaucoup moins de mal de lui que ceux qui le soutiennent ou qui l’ont soutenu », disait-il y a deux ans dans l’Opinion.
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