Cette semaine, la comédienne apparait pour la 13ème fois en couverture de ce magazine.
« Si il y a une chose sur laquelle je ne peux pas mentir, c’est que je suis une grande menteuse », dit-elle d’emblée, avant de se confier sur la disparition de son papa, et son rapport à son corps et la vie.
« d’une certaine façon, j’avais toujours peur de lui (…) La mort de mon père a fait de moi une adulte. Mais c’est difficile de renoncer à sa part d’enfance. Je sens cette petite fille, cette petite « moi », qui me tient la main. Elle est bienveillante ou malveillante mais elle ne m’a pas encore lâchée ».
« Être amoureuse à 50 ans, personnellement je le vis mieux. Avec ce corps qui se relâche un peu, enfin. Ça se relâche et je profite de ce relâchement. Je ne fais pas de sport, je passe par cette phase où ça s’apaise », poursuit-elle par ailleurs.
« Il y a quelque chose qui ressemble plus à la vie qu’avant. Le masque physique, je l’ai beaucoup porté. Il y a tout un moment de l’existence des femmes où, dans le fond, le plaisir c’est le plaisir de l’autre. Mais là, j’ai décidé de prendre mon pied. Comme à l’école quand on lève la main : ça y est c’est mon tour. », ajoute-elle.