Karine Ferri se lance dans l’exploration des fonds marins, une passion partagée avec Brigitte Macron.
C’est grâce à sa fille Laurence, aujourd’hui cardiologue, que Brigitte Trogneux a entendu parler pour la première fois d’Emmanuel Macron, celui qui allait devenir son époux. C’était en 1992.
C’est ce que raconte l’écrivain Philippe Besson, qui consacre un dossier très complet à l’épouse de l’ex ministre de l’économie, de qui, il est très proche.
C’est Laurence, la fille de Brigitte Trogneux, qui était alors dans la classe d’Emmanuel Macron « qui s’enthousiasma auprès de sa mère, de son camarade ».
« Il y a un fou avec nous, il sait tout sur tout », raconte ensuite Philippe Besson dans VSD, en kiosque dès ce 8 septembre.
A l’époque Brigitte Trogneux animait une classe de théâtre, à laquelle Emmanuel Macron voulait s’inscrire.
C’est à cette occasion, qu’elle mesurera « toute l’étendue de son intelligence », ce que l’intéressée confirme d’ailleurs.
« Une intelligence qui peut tout épouser. Mais il n’est pas seulement brillant, beaucoup de gens le sont, non, lui son truc c’est qu’il n’est pas dans la norme », dit-elle à propos de son homme.
Il aura fallu longtemps à Emmanuel Macron pour aller de l’avant avec Brigitte Trogneux, qui était très réticente en raison de leur différence d’âge (24 ans).
Comme l’explique Philippe Besson, « l’acceptation par les enfants de Brigitte fera sauter la dernière digue ».
« Je me suis dit : je vais passer à côté de ma vie si je ne le fais pas », explique de son côté l’ex professeur de lettre.
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