Flavie Flament, animatrice de Télématin, vit un nouveau chapitre de sa vie amoureuse. Depuis environ un an, elle partage sa vie avec Yannick, un artiste peintre de 52 ans, comme le révèle Voici en exclusivité ce vendredi 18 octobre.
Flavie Flament n’a pas été contactée par M6, comme cela avait été affirmé par le blog de Jean-Marc Morandini.
Cette arrivée a en effet été démentie par son ex mari, Benjamin Castaldi, dans le cadre de TPMP sur C8, où il officie en qualité de chroniqueur depuis le début de la saison.
« C’est totalement faux. Elle ne veut pas du tout revenir sur une émission qui ne lui correspondait pas. Elle est très bien à la radio », explique-t-il.
De son côté, Matthieu Delormeau a aussi réagi à cette affirmation. « Chaque année elle a des propositions, c’est tout à son honneur de refuser ce qu’elle ne veut pas », dit-il.
Quoiqu’il en soit, l’animatrice reste mobilisée pour la prolongation du délai de prescription pour les viols, combat qu’elle évoque dans les colonnes du Parisien.
Elle explique que le prolongement du délai de prescription pour les viol est motivée par le fait que les victimes souffrent souvent de l’amnésie traumatique dont elle a elle-même souffert.
« Cette forme d’amnésie, courante chez les victimes d’abus sexuels, particulièrement chez les enfants, entrave la parole. Les souvenirs refont surface avec une grande violence, souvent bien des années après. Comme d’autres, je me suis heurtée au mur de la prescription. L’imagerie médicale permet pourtant de démontrer scientifiquement l’existence d’un traumatisme, qui se traduit par une atrophie de certaines parties du cerveau », confie-t-elle.
Et de poursuivre : « Il est encore difficile de le dater et d’en donner la nature mais, pour moi, c’est l’avenir. C’est une forme de preuve qui vient conforter le récit de la victime ».
« Si nous proposons aujourd’hui de porter le délai de vingt à trente ans après la majorité de la victime, c’est aussi parce que dans le futur, avec l’informatique notamment, les preuves seront mieux conservées », explique Flavie Flament qui a été victime de viol lorsqu’elle était enfant.
« Mais dans bien des cas, notamment dans mon affaire qui a fait ressurgir une dizaine de témoignages qui montraient, à des époques différentes, un même modus operandi, rien ne dit que l’affaire n’aurait pas débouché sur un procès (NDLR : David Hamilton s’est suicidé après ses révélations) ! Le risque d’une impasse judiciaire existera toujours, mais, si les victimes sont accompagnées, elles décideront de le courir en toute connaissance de cause ».
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