Franck Dubosc a frôlé la mort lors d’un tournage au Kosovo, révélant son imprudence qui aurait pu lui coûter cher !
Des détails sont donnés par le magazine France Dimanche, qui revient sur cet épisode.
La vie d’une star n’est pas toujours de tout repos, bien au contraire, elle peut s’avérer extrêmement dangereuse, surtout lorsque l’on décide, à l’instar de Franck Dubosc, de se produire dans un pays en guerre.
C’est ce que l’acteur de 59 ans a raconté à Guillaume Pley dans une interview exclusive accordée au média digital Legend.
Pour l’occasion, il est revenu sur une expérience effrayante qui aurait pu le laisser « éparpillé façon puzzle ».
C’était 1999, Franck Dubosc faisait déjà rire toute la France avec son spectacle intitulé « J’vous ai pas raconté ? ».
Mais cette année-là marquait également la fin d’un conflit sanglant au Kosovo, où les soldats français et belges étaient encore en poste, cherchant un peu de légèreté dans leur quotidien difficile.
C’est ainsi que le héros de Camping décidait de se rendre dans ce pays, avec pour objectif d’apporter un peu de réconfort aux soldats.
« C’était bizarre, il y avait des mitrailleuses sur le toit du théâtre, des snipers postés un peu partout, et les militaires gardaient leurs fusils devant eux », se souvient-il lors de son passage sur le plateau de Legend.
L’humoriste était âgé de 36 ans à l’époque. Et les danger, il n’en avait que faire.
« Je n’ai reçu aucune médaille, pourtant je suis le seul artiste français à avoir joué dans un pays en guerre ! », regrette-t-il avec un sourire.
« À un moment donné, nous sommes arrivés en jeep sur un terrain vague avec une petite colline », affirme celui que certaines rumeurs affirment traverser actuellement une crise conjugale.
« J’avais toujours ma petite caméra vidéo sur moi et je me suis mis à courir pour filmer depuis la colline, mais le soldat m’a dit : ’STOP’. Je me suis arrêté au milieu et il m’a dit : ’C’est miné’. J’ai eu la chance de courir et de ne pas marcher sur une mine ».
L’artiste a ensuite dû attendre que les détecteurs de métaux déployés par les soldats lui permettent de revenir sur ses pas.
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