Dans un premier temps, le chanteur de 47 ans a évoqué sa grand-mère maternelle qui était aux prises avec la maladie de Charcot et très vite, elle était devenue dépendante.
La grand-mère de Thomas Dutronc « ne pouvait plus faire sa toilette, se nourrir, elle n’était plus du tout indépendante, même aller aux toilettes toute seule, et là elle disait, que le jour où ça lui arriverait, elle aimerait disparaître ».
Un médecin avait accepté de l’euthanasier, à tout 70 ans.
Le cas de Françoise Hardy n’a pas manqué d’être évoqué. Depuis plusieurs années, elle a composé avec plusieurs cancers dont le dernier en date, celui du larynx. Elle voulait en finir.
« Quand elle a eu des problèmes récemment, elle disait ’bon là, c’est terminé", mais moi j’étais là pour dire ’attends !’ Par exemple dans le cas de ma mère, elle est très comme ça. Si c’est pour souffrir, pour faire de l’acharnement thérapeutique, elle préfère en finir ! », dit-il.
« Mais elle va très vite à dire ça. Elle, c’est l’excès inverse. Elle irait trop vite à faire l’euthanasie ! ».