Malgré leur rupture, Vanessa Paradis et Johnny Depp ont gardé de très bons rapports, et pourraient même se retrouver lors d’un événement musical des plus spéciaux.
Une déconvenue à Madagascar, une tournée française reportée, des ventes en chute libre... La période est sombre pour Gims, supposé traverser une période difficile. Pour le magazine Public, il aurait été zappé.
Ce ne serait pas la grande joie pour l’artiste émérite.
« Les stades, ce n’est pas pour toi, contente-toi des gares et des hypermarchés. C’est une configuration pour vendre des hot dogs. Tu ne remplis même pas un quart de virage », lui avait lancé Booba, son ennemi intime, qui ne manque pas une occasion de le critiquer sur les réseaux sociaux.
Le rappeur installé à Miami ne manque jamais de le torpiller.
Et là, il faisait référence, comme le rapporte le magazine Public au concert de Gims à Madagascar le 11 juin dernier.
Pour le Duc de Boulogne, c’est clair : l’ancien membre de Sexion d’Assaut a connu un échec retentissant et n’a rempli qu’une partie du stade Barea de Mahamasina, et encore, en vendant des billets à moitié prix, précise Booba le sniper.
Vrai ou faux ? On sait que Booba soupçonne Gims d’avoir fait annuler son concert à Casablanca, prévu le 21 juin, en l’accusant d’avoir utilisé ses liens privilégiés avec le roi Mohammed VI.
Est-ce que B20, rongé par la rancœur et animé par la vengeance, aurait exagéré concernant ce supposé échec de Gims à Madagascar ? Rien n’est moins sûr, car certains signes avant-coureurs laissent penser que l’interprète de "Sapé comme jamais" traverse réellement une période difficile.
Ainsi, fin mai, Gims surprenait ses fans en annonçant le report de sa tournée, initialement prévue pour novembre 2023, à novembre 2024. La raison ? "La préparation et la réalisation de ses concerts d’été avec son frère Dadju", tentait de justifier son entourage.
Néanmoins, cette annonce était une très mauvaise nouvelle pour le rappeur, dont le dernier album s’est écoulé à seulement 50 000 exemplaires, contre plus d’un million pour les trois premiers. Des chiffres nettement insuffisants « que la crise de l’industrie musicale seule ne peut expliquer ».
Est-ce que ses déclarations surprenantes sur les vœux du Nouvel An et les anniversaires, ses théories sur les pyramides ou ses apparitions lucratives dans les grandes enseignes de distribution ont terni son image ? Une chose est sûre : l’interprète de "Est-ce que tu m’aimes ?" doit se ressaisir s’il veut que son public réponde positivement à cette question.
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