Dans une vidéo https://twitter.com/booba/status/1708787263658742038%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1708787263658742038%7Ctwgr%5Ef3d924095e67c95002cde2e2e33e60aceed9abb9%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.bfmtv.com%2Fpolice-justice%2Faccuse-de-cyberharcelement-par-magali-berdah-booba-annonce-avoir-ete-interroge-par-un-juge-d-instruction_AN-202310020515.html" rel="noopener" target="_blank">publiée sur les réseaux sociaux, Booba a révélé les circonstances entourant son audition par la justice : « Je sors du tribunal, interrogé sur des faits de menaces de mort, de cyberharcèlement et de recel de bien. Comme vous le voyez, je suis en liberté, tout va bien. La piraterie n’est jamais finie », a-t-il déclaré, tout en étant assis sur un canapé, une musique en toile de fond.
L’entourage de Booba a également confirmé sa volonté de collaborer pleinement avec la justice et l’a décrit comme un « lanceur d’alerte ». Cette affaire fait suite à plusieurs plaintes déposées par Magali Berdah, âgée de 41 ans, qui accuse Booba de cyberharcèlement et de diffamation à son encontre.
Il est important de noter que Booba a régulièrement accusé Magali Berdah d’escroqueries liées aux pratiques douteuses de certains influenceurs. Cette situation a conduit à une série de messages publics et de déclarations ouvertes de Booba contre Berdah.
Le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) du parquet de Paris a entamé des enquêtes sur cette affaire depuis juin 2022. Booba avait déjà été convoqué dans le cadre de ces enquêtes, mais il n’avait pas répondu à la convocation. Plus récemment, l’affaire a été confiée à un juge d’instruction en été 2023, qui a choisi de reconvoquer le rappeur pour faire la lumière sur ces allégations de cyberharcèlement.