Valérie Trierweiler espère se rendre au Nigeria pour attirer les projecteurs sur le sort des lycéennes enlevées par Boko Aram, une secte islamiste, confie-t-elle lors d’un entretien avec Europe 1.
Il y a un an, jour pour jour, 276 lycéennes ont été enlevées par ce groupe terroriste dans le dortoir d’un lycée de Chibok, au nord-est du Nigeria.
57 jeunes filles avaient réussi à échapper à leurs bourreaux. 219 autres sont toujours captives.
Et à l’occasion de ce triste anniversaire, une manifestation a été organisée au Trocadéro, à Paris, à laquelle l’ex première-dame avait assisté.
’On a surtout tenu, non pas à ’souhaiter’ cet anniversaire - qui est un very bad birthday - mais on a tenu à lutter contre l’oubli et le silence qui est en train de s’installer’, confie Valérie Trierweiler au micro d’’Europe 1’.
’ Qui, aujourd’hui, rappelle encore que 221 jeunes filles sont encore aux mains de leurs ravisseurs ? Enfin on espère qu’elles sont encore vivantes…", a-t-elle déclaré.
L’ex de François Hollande a ensuite fait part de son projet de s’envoler en Nigeria, car estime-t-elle, la mobilisation est une manière pour les familles de tenir le choc.
"si on oublie ces jeunes filles, qui sont en train de devenir un symbole de la persécution masculine terroriste, je pense qu’on lâche tout et que l’on recule dans l’humanité’, a-t-elle conclut.
#BringBackOurGirls Mais où sont passés nos élus ? De simples citoyennes les remplacent @valtrier #mercipourcemoment pic.twitter.com/9OykEsFynE
— Virginie Tellenne ? (@FrigideBarjot) https://twitter.com/FrigideBarjot/status/588008834465140736
">14 Avril 2015
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