Guillaume Durand dévoilé dans son livre "Bande à part" un témoignage sur ses dernières rencontres avec Jacques Chirac. Et il en parle dans C à Vous sur France 5.
En entretien avec le magazine « Gala », Guillaume Durand a abordé pour la première fois la mort de son fils survenue en 2003, alors que la France était en proie à la canicule.
« Cela remonte à l’été 2003. Gabriel, qui n’avait pas un an, a péri dans son lit, pendant la canicule », se souvient le journaliste, toujours en pleine promotion de son autobiographie.
« Ni sa mère ni moi n’étions dans la maison de campagne où il est mort dans la nuit. Il était gardé par deux amies de sa maman. Le diagnostic a été délivré par un médecin : mort subite du nourrisson », précise-t-il.
Cette triste nouvelle lui avait été annoncée par téléphone alors qu’il était à l’étranger.
« Je me suis senti dévasté, responsable, coupable et trahi à la fois. Cet été-là, j’avais réuni tous mes enfants pour une croisière en Croatie. La nouvelle, je l’ai apprise à bord », se rappelle Guillaume Durant, qui avait été victime d’un malaise quelques jours après l’enterrement.
« Septembre arrivait, j’étais à Paris avec quelques amis, tâchant d’oublier la tragédie et puis soudain, je me suis effondré. Une heure plus tard, j’étais hospitalisé à Garches où, sous anxiolytiques à dose massive, je suis resté deux semaines », dit-il.
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