Yann Barthès explique l’invitation de François Hollande
Ce mercredi 4 septembre, Yann Barthès a reçu François Hollande sur le plateau de "Quotidien", l’émission phare de TMC. Avant d’entrer dans le vif du sujet avec l’ancien...
Jean Dujardin déstabilisé par une question de Yann Barthès
Jean Dujardin est l’invité de Yann Barthès sur Quotidien, proposée sur TMC, pour présenter la série « Zorro » dont il tient la tête d’affiche. Et il a été surpris par une curieuse question du présentateur.
Alors que l’acteur venait promouvoir sa nouvelle série, il s’est retrouvé face une question inattendue.
">September 3, 202440 ans plus tard, il est de retour. #Zorro avec Jean Dujardin, c'est dispo dans 3 JOURS ! #ZorroParamountPlus pic.twitter.com/yqHqW9YHgT
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Le présumé rival de Cyril Hanouna a cité une théorie sur Zorro,
Le présentateur a d’abord cité une théorie du Sergent Garcia sur le personnage endossé par l’acteur oscarisé.
« Essayer d’imaginer sa vie, à chaque apparition, être à la hauteur du fantasme. Deux moitiés de vie, ça ne fera jamais une vie entière », a-t-il indiqué, avant de présenter cette phrase comme « une métaphore d’un artiste, d’un comédien ».
Yann Barthès a ensuite demandé à Jean Dujardin ce qu’il en pensait. Le mari de Nathalie Péchalat est resté muet.
« C’était c*n ce que j’ai dit ? », a demandé Yann Barthès.
« C’est con… que je n’ai pas ta réponse sur le prompteur ! », a répondu le pote de George Clooney.
« Là, je sens que je ne suis pas à la hauteur », ajoute-t-il. Je n’ai pas la réplique mordante ! ». « Mais c’est bien, vous progressez, Yann Barthès. C’est bien ! Pas moi, mais vous, oui… ».
Jean Dujardin a par ailleurs évoqué son personnage dans un entretien accordé à Madame Figaro. Il n’a ressenti aucune pression particulière pendant le tournage.
« Bizarrement, je n’ai ressenti cette pression qu’à la fin du tournage, quand les dés étaient jetés. Mais ce fut un plaisir gourmand d’enfiler ce masque, cette cape et ces bottes », a-t-il indiqué.
« Avec Zorro, le costume est plus fort que tout, il n’y a pas à forcer le jeu. Il suffit d’avoir du panache quand il faut, de la faiblesse de temps en temps, et s’amuser avec tout ça. Il s’agit d’une comédie de situation où tout le monde ment : la femme, le mari, l’amant (sachant que ces deux derniers sont la même personne). Il y a quelque chose de très boulevardier là-dedans. Et les cavalcades dans les décors d’Almería assouvissaient un vrai plaisir d’enfant et resteront gravées dans ma mémoire ».
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