Jean-Pierre Pernaut risquerait de laisser un grand vide, après avoir laissé sa place Marie-Sophie Lacarrau aux commandes du 13 heures de TF1. L’écart avec France 2 risquerait de se réduire. Un petit tacle d’un patron de France 2.
C’est la conviction Laurent Guimier, patron de l’information de France Télévisions, qui évoque cette situation lors d’un entretien accordé au "Parisien".
A peine est-il nommé à ce poste que Marie-Sophie Lacarrau lui annonce son départ.
"C’était d’autant plus inattendu que c’était notre première rencontre formelle", a-t-il déploré. Le rendez-vous a été plus court que prévu, mais je n’avais pas de raison d’être plus en colère que ça".
"Cela nous a permis de nous mettre au travail sur l’essentiel : trouver son successeur (NDLR : Julian Bugier)", poursuit-il, avant de répliquer à Marie-Sophie Lacarrau, qui avait évoqué un départ « violent et surprenant » après vingt ans de service public.
"Elle est tout même à l’origine de son départ chez notre principal concurrent et pour y faire la même chose", a-t-il lancé. Très bien, au revoir. On s’est quittés sans animosité, mais elle a pris ses responsabilités. Les téléspectateurs sont passés à autre chose".
Il affirme par ailleurs que depuis son départ, les audiences n’ont pas baissé, et va même jusqu’à affirmer que Julian Bugier va non seulement étonner, mais aussi réduire l’écart. Il s’illustre ensuite par un tacle ;
"Marie-Sophie n’est pas Jean-Pierre", a-t-il lancé.
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