En entretien avec ’Le Parisien Magazine’, Johnny Hallyday revient sur les attentats à ’Charlie Hebdo’. Et de se rappeler qu’à cette époque là, il en avait beaucoup parlé avec Jamel Debbouze, son confident.
’Ça m’a choqué, beaucoup. J’étais catastrophé’, confie le chanteur de 72 ans à propos des attentats à Paris, qui ont fait au total 17 morts dont Charb, Cabu et Wolinski.
’C’est horrible, cette histoire est horrible. A notre époque, comment ça peut arriver ?’, s’interroge le chéri de Laeticia Hallyday, qui était très copain avec Georges Wolinski, l’un des dessinateurs de Charlie Hebdo, qui a perdu la vie lors de cette tuerie.
Johnny Hallyday confirme ensuite en avoir beaucoup parlé avec Jamel Debbouze.
’Il m’appelait tout le temps et me disait : ’Tu te rends compte ce qui nous arrive sur la gueule ?’ Il est comme moi, très pudique. Les gens pensent qu’on prend la parole pour se faire mousser mais pas du tout !’, précise-t-il.
Contrairement à Jamel Debbouze, Johnny Hallyday n’a pas pu participer à la Marche républicaine du 11 janvier pour la défense de la liberté d’expression.
Il avait en effet été contraint de regagner les États-Unis.
S’il avait pu rester à Paris, il serait ’allé défiler place de la République’. ’J’ai trouvé ça formidable’, confie-t-il.
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