Les arcanes du pouvoir semblent souvent être entrelacées de relations influentes, et Brigitte Macron ne fait pas exception à cette règle. Au sein du gouvernement, la première dame est devenue une figure centrale, attirant l’attention et la...
Julie Gayet n’aurait pas hésité à ouvrir les placards de Brigitte Macron, alors que celle-ci était installée à Bercy, à l’époque son mari était aux commandes finances de l’État.
Cet épisode est rappelé par le magazine Gala, en marge d’un article sur la réticence de Brigitte Macron à suivre son mari pour un second mandat.
L’influence de « Brigitte Macron n’est plus à démontrer. C’est elle qui a tranché pour le nom « En Marche », le nom du petit fondé par son mari.
« D’autres proches du futur président, comme l’avocat François Sureau », n’appréciaient pas du tout ce nom du parti, qui ferait rappeler la grande marche de Mussolini.
Il s’agit d’une révélation de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, auteur de l’ouvrage Le traître et le néant, où il est question du « pouvoir solitaire d’un homme suprêmement habile, éperdu de lui-même. Ils révèlent les dessous de la conquête de l’Élysée, puis l’exercice de la toute-puissance, et la vaine quête d’une idéologie ».
À l’époque, Julie Gayet et François Hollande ont été accueillis par Brigitte et Emmanuel Macron dans leurs appartements au ministère de l’Économie et des Finances.
Curieux, François Hollande et Brigitte Macron « fait le tour du propriétaire. Le lieu est spectaculaire, il surplombe la Seine et la nuit, la vue est bluffante. Au hasard, Julie Gayet ouvre un placard et tombe…sur le carton siglé ‘En marche’. Mais elle ne réalise pas et referme le placard ».
L’épouse avait raconté cette anecdote à ses proches.
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