" Menacée de mort, l’angoisse monte ", annonce le magazine Clever dont le propos est corroboré par Le Parisien, dans son numéro daté du 25 novembre, où il est affirmé que la France demeure en alerte après que le chef de l’Etat a appelé à ne pas renoncer aux caricatures du prophète Mahomet .
Et pour ne pas arranger les choses, la ministre pakistanaise des droits de l’homme Shireen Mazari a affirmé que le mari de Brigitte Macron « fait aux
musulmans ce que les nazis infligeaient aux juifs ».
Cette ministre a repris une infox reprise sur les réseaux sociaux, et par certains médias américains où il est affirmé qu’en France « les enfants musulmans devront avoir un numéro d’identification, comme les juifs étaient forcés de porter l’étoile jaune ».
Une situation explosive est évoquée par le ministère des Affaires étrangères qui a déploré cette fausse rumeur très relayée sur les réseaux sociaux.
« Les forces politiques et religieuses s’y livrent à une surenchère dans
les réactions anti-Macron », a précisé le géopolitologue Didier Billion, directeur adjoint de l’Iris, faisant état d’un climat en surchauffe.
En Afghanistan, l’Indonésie, le Bangladesh, la Malaisie, des portraits d’Emmanuel Macron auraient été posés par terre afin que "tout" le monde marche dessus.
En Afrique de l’Ouest, et le moyen orient, c’est fort heureusement l’apaisement depuis la mise au point du président face aux caméras d’Al Jazeera. Emmanuel Macron a précisé la notion de la laïcité.