Lors de l’émission des Grosses Têtes sur RTL le 26 juin, Valérie Trierweiler a évoqué la campagne de François Hollande en Corrèze pour les élections législatives.
Kad Merad se livre sur le plateau du 20 heures de Laurent Delahousse sur « France 2 », dans le cadre de la promotion de de son dernier film « Disparu en hiver », occasion d’évoquer l’attentat visant « Charlie Hebdo » et l’élan de solidarité avec le journal satirique qui s’en est suivi.
« J’ai un peu le trac de parler de tout ça parce que j’ai été ému par beaucoup de choses. Bien évidemment par la marche, je n’étais pas à Paris, je l’ai suivi à la télévision. J’ai été à la fois rassuré, mais en même temps j’étais encore sous le choc », confie l’acteur, qui a eu vent de l’attaque alors qu’il déjeunait en famille à Marseille.
« Mon fils de 10 ans me regarde et j’ai vu dans ses yeux à quel point je devais être choqué. Je n’ai jamais vu son regard sur moi comme ça », a-t-il reconnu, avant de saluer la détermination de François Hollande, qui a bien géré les événements.
« J’ai été ému par la façon dont il a géré cette affaire. J’ai l’impression de voir un président », a-t-il poursuivi sur le plateau de France 2.
Kad Merad a également salué l’unité affichée à l’Assemblée Nationale suite au discours de Manuel Valls.
« C’était du jamais vu, donc il est possible d’arriver à une unité nationale et d’arriver à s’entendre. Malheureusement, il faut qu’il y ait des chocs pareils et des tragédies pareilles pour se rendre compte qu’on est un peuple qui est capable de se dresser d’un seul homme, tous ensemble, face à l’horreur, face au terrorisme », a expliqué le comédien pour qui « on doit pouvoir rire de tout ».
« On dit souvent : on peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui. Il faut comprendre les susceptibilités de chacun, qui ne peuvent bien évidemment pas excuser des gestes d’une telle violence. Oui, on doit pouvoir rire de tout. Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’il faut faire attention car il y a des gens qui sont choqués, dit-il.
« On le voit dans le monde entier, les gens réagissent aux caricatures », ajoute Kad Merad.
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