Depuis l’annonce brève du 17 janvier par le Palais, l’inquiétude concernant la santé de Kate Middleton, 42 ans, s’est propagée bien au-delà des frontières britanniques.
Le communiqué officiel indique sobrement : "La princesse de Galles a été admise hier à la London Clinic pour une intervention chirurgicale abdominale programmée ».
L’opération s’est déroulée avec succès et il est prévu qu’elle reste à l’hôpital entre dix et quatorze jours. Selon l’avis médical actuel, il est peu probable qu’elle reprenne ses fonctions publiques avant Pâques ».
Comme le rappelle France Dimanche, qui consacre sa Une à la princesse de Galles, l’urgence de cette annonce a suscité des interrogations, surtout concernant la durée de l’hospitalisation et la convalescence annoncée.
Malgré les assurances du Palais selon lesquelles il ne s’agit pas d’un cancer, des doutes subsistent quant à la nature réelle de l’intervention.
Un spécialiste des Windsor souligne : « On s’étonne que Kate, d’ordinaire si active, n’ait pas été vue publiquement depuis la messe de Noël. Pourquoi Kensington ne dit-il pas la vérité sur la pathologie dont souffre la princesse ? Ce silence assourdissant laisse le champ libre aux pires interprétations ».
Les spéculations vont bon train sur ce qui pourrait être "pire qu’un cancer." Le Dr Martin Scurr du Daily Mail évoque des possibilités telles qu’une appendicectomie, des calculs biliaires ou même une hystérectomie, une opération plus lourde impliquant le retrait de l’utérus. Des rumeurs de reconstruction abdominale après une hernie circulent également.
Alors que le monde attend des éclaircissements sur la condition de Kate Middleton, le mystère persiste, alimentant davantage les conjectures inquiètes au sujet de la santé de la princesse.
« Tout porte à croire que ça s’est fait dans l’urgence, penche un spécialiste des Windsor.
On s’étonne que Kate, d’ordinaire si active, n’ait pas été vue publiquement depuis la messe de Noël. D’ailleurs, son agenda commun à celui de William prévoyait un déplacement officiel en Italie dans quelques semaines. Pourquoi Kensington ne dit-il pas la vérité, pourquoi ne précise-t-il pas la pathologie dont souffre la princesse ? Aujourd’hui, parler d’un cancer n’est plus un gros mot. Ce silence assourdissant laisse le champ libre aux pires interprétations… », est-il indiqué.
France Dimanche, qui reprend une poste livrée par le Dr Martin Scurr dans les colonnes du Daily Mail, il pourrait s’agir d’une appendicectomie ou bien de calculs biliaires.
Un kyste ovarien a aussi été évoqué, tout comme une hystérectomie, une lourde opération qui consiste à retirer l’utérus. ».
Renseignements pris, cela ne nécessite pas de rester autant de jours alité. « Parmi les autres spéculations : une reconstruction abdominale après une hernie ».