Celui qui est actuellement sur nos écrans à l’affiche de « La Vache » aux côtés de Jamel Debbouze a connu une période trouble à la mort de ses parents en 2009 et en 2010.
S’il a « serré les dents après la mort de son père refusant d’écouter sa douleur », il est conscient que « mettre un tampon dessus ne peut qu’avoir des conséquences désastreuses ».
« J’ai explosé en mille morceaux avec l’impression d’être définitivement cassé » explique-t-il dans les colonnes de « Paris Match ».
L’acteur compare cette douleur à « un camion qui lui rentre dedans ». Et il a même « failli y rester ».
Pendant plus d’un an, il a lutté contre une profonde dépression mais a été suivi par « de très bons médecins ».
C’est grâce à un film qu’il a réussi à sortir la tête de l’eau, Sur la piste du Marsupilami, dans lequel il donnait aussi la réplique à Jamel Debbouze.
« J’ai accepté Sur la piste du Marsupilami d’Alain Chabat et cette danse incroyable a accéléré ma guérison. C’était comme une mue », ajoute-t-il. Si ses « parents lui manquent terriblement », Lambert Wilson se sent aujourd’hui "libéré."