Samuel Benchetrit a dévoilé une habitude qu’il a gardée depuis qu’il a élevé seul son fils Jules, après la mort tragique de sa mère Marie Trintignant. Cette habitude doit peut-être intriguer son épouse, Vanessa Paradis.
Ce jeudi 26 octobre, Vanessa Paradis, en couple depuis des années avec Samuel Benchetrit, s’est laissé aller à quelques confidences lors d’un entretien accordé Harper’s Bazaar.
Et pour l’occasion, elle est revenue sur un tournage compliqué avec réalisateur « autoritaire ». Elle ne semble pas garder un bon souvenir de ce projet.
L’ex de Johnny Depp a partagé des souvenirs d’un tournage difficile avec un réalisateur qu’elle décrit comme "autoritaire". L’artiste a évoqué cette expérience marquante, près de 30 ans après les faits. Il s’agit de Jean-Claude Brisseau, décédé en 2019.
« Je n’avais jamais fait de film, donc j’ignorais comment ça se passait. Et je me suis retrouvée face à un réalisateur autoritaire, impressionnant physiquement, qui pouvait facilement faire peur », a-t-elle révélé. Cette expérience a laissé une empreinte durable dans l’esprit de Vanessa Paradis, qui aussi partagé une anecdote spécifique concernant ce réalisateur. Il lui répétait constamment : « Si tu ne minaudes pas, tu n’iras nulle part ».
De plus, il avait une manière inhabituelle de la mettre en condition pour les scènes.
« J’étais maquillée, prête à tourner, et cinq minutes avant d’entrer sur le plateau pour jouer devant toute l’équipe, il envoyait son assistante personnelle, sa femme, pour me dire : ’tu étais très mauvaise, nulle même, tu as intérêt à faire mieux aujourd’hui’. Il sapait ma confiance en moi au moment où j’en avais le plus besoin. Je n’ai jamais vu la tendresse de Brisseau », se souvient-elle.
Cette expérience difficile aurait pu briser de nombreux artistes, mais Vanessa Paradis a pu compter sur le soutien de ses proches à l’époque, notamment Florent Pagny.
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